Des Ruines…
Représentation
du 25 au 26 Mai 2012
Horaires : 00:00
Horaires : 00:00
Théâtre
Le Forum-Salle Barbara – 1-5 place de la liberation, 93150 Le Blanc-Mesnil – France
De 7 € à 16 € /
Le billet permet également d’assister le même soir à « Cahier d’un retour aux pays natal » d’Aimé Césaire, mis en scène et interprété par Jacques Martial /
20H30
Français
De Raharimanana ; Mise en scène Thierry Bedard ; Interprétation Phil Darwin Nianga
Comment se construire sur un champ de ruines ? Raharimanana pose cette question à travers tous ses textes. Colonialisme et néocolonialisme ont doublement ravagé l’Afrique. Au-delà de la destruction matérielle, c’est l’esprit et le cœur des êtres humains qui ont été broyés, dévastés. Ruines symboliques, ruines de l’imaginaire, qui nouent la gorge et entravent la parole. Sans dolorisme ni victimisation, par une poésie qui transcende les souffrances accumulées, Raharimanana donne une voix pour des paroles d’avenir.
Thierry Bedard met en scène Phil Darwin Nianga pour porter ce texte. Il est prodigieux.
«Une langue inouïe, chargée de rage et de révolte, puis de douleur, pour avouer sans honte l’envie de s’éloigner de ce monde insensé, de se sauver (!)… De toutes nos forces. Avec nos rires insupportables et nos larmes…»
Thierry Bedard
Comment se construire sur un champ de ruines ? Raharimanana pose cette question à travers tous ses textes. Colonialisme et néocolonialisme ont doublement ravagé l’Afrique. Au-delà de la destruction matérielle, c’est l’esprit et le cœur des êtres humains qui ont été broyés, dévastés. Ruines symboliques, ruines de l’imaginaire, qui nouent la gorge et entravent la parole. Sans dolorisme ni victimisation, par une poésie qui transcende les souffrances accumulées, Raharimanana donne une voix pour des paroles d’avenir.
Thierry Bedard met en scène Phil Darwin Nianga pour porter ce texte. Il est prodigieux.
«Une langue inouïe, chargée de rage et de révolte, puis de douleur, pour avouer sans honte l’envie de s’éloigner de ce monde insensé, de se sauver (!)… De toutes nos forces. Avec nos rires insupportables et nos larmes…»
Thierry Bedard
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