Il y a très longtemps, le jeune oranais pouvait se rendre, chaque jeudi, dans les librairies ou les kiosques pour faire le plein de bandes dessinées (BD), en arabe ou en français, réalisées avec intelligence autour de sujets où la notion de violence n'avait pas sa place. Il avait le choix entre des BD algériennes relatant les aventures de l'inoubliable Mkidèch, de l'éphémère Richa (souvenez-vous de celle dont la masse n'empêchait pas la légèreté) ou encore les truculentes -mais non moins contestatrices- péripéties de Bouzid et Zina, et des BD françaises, dont le représentant le plus illustre Pif (...)
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